#UnfollowMe : la société civile refuse la surveillance de masse

La surveillance de masse choque plus au Brésil qu’en France. C’est l’un des constats qui émergent d’un sondage réalisé pour le compte d’Amnesty International dans 13 pays de tous les continents. A l’occasion du lancement de la campagne mondiale #UnfollowMe d’Amnesty et à la veille de la sortie en kiosque de notre numéro consacré à la surveillance, Altermondes a résumé dans une infographie interactive les résultats du sondage dans cinq pays  : Brésil, France, Philippines, Afrique du Sud et Etats-Unis.

Michel Serres : «La question est de savoir qui sera le dépositaire de nos données»

INTERVIEW – Le philosophe français, membre de l’Académie française, a dressé en 2012 le portrait de Petite poucette, symbole d’une génération transformée par le numérique. Trois ans plus tard, Le Figaro a lui demandé de ses nouvelles.

Vie privée: Facebook enfreint toujours les règles européennes

Alors que Facebook tente de rassurer ses utilisateurs concernant l’utilisation de leurs données personnelles, en assurant qu’ils en détiennent le contrôle, un rapport belge vient accabler le géant mondial pour non respect des règles européennes sur la protection des consommateurs. Commandité par l’Autorité Belge de Protection des données et rédigé par des chercheurs et des juristes de l’Université de Louvain et de la Vrije Universiteit Brussels, ce rapport d’une soixantaine de pages retient 8 chefs d’accusation contre Facebook  concernant le consentement des utilisateurs, les paramètres de confidentialité, les termes du contrat, le croisement et le partage des données, la réutilisation des UGC, la géolocalisation imposée, la politique de « tracking » et le droit des utilisateurs à être propriétaire de leurs données.

Facebook veut à tout prix votre état civil

Un prêtre américain s’est vu bloquer l’accès à son compte Facebook à la fin de ce mois de janvier. A la place de sa page personnelle, le site affiche un message lui expliquant que son compte a fait l’objet d’un contrôle d’identité, qui a mal tourné pour lui : Facebook lui reproche de ne pas utiliser son vrai nom sur sur son profil. Sauf que le prêtre l’utilise bien : il a juste accolé son titre « father » à son nom civil.

« Tu déconnes, Christophe… »

« Tu fais une petite erreur d’analyse », juge tranquillement Christophe Agnus, en s’adressant à Mark Zuckerberg. Je me permets de te retourner le compliment, Christophe. Et d’ajouter que ta « petite erreur » est le fruit d’un constat approximatif et d’une idée reçue.

« Tu déconnes, Mark… »

Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, projette de lancer un concept de « journal quotidien personnalisé » triant l’information en fonction du « profil » de chacun. Un danger pour la démocratie, plaide Christophe Agnus, journaliste et consultant spécialiste de la presse numérique.

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